Je te fuis… Tu me suis ? On jouit sans se toucher… on se fait des virées aux temples interdits! Ô fils du vent, quand je te chevauche et que tu m’emportes, moi la Bise deviens Chergui… que m’importe d’être chair sur ta couche si je te suis chère à l’infini ?
@]waaayli Grosse bise de Paname, où je me suis réfugié une petite semaine, pour fuir...l'étouffement, l'irascibilité ambiante, l'incompréhension, l'étroitesse d'esprit, les dogmes abscons croulant sous des siècles de bêtise crasse, les traditions surannées, pour respirer un peu d'air de liberté. Liberté de pensée, sans lignes rouges ni sacrées à ne jamais dépasser, liberté de conscience, liberté de culte, liberté d'expression, liberté d'être ce qu'on a envie d’être, y compris le libre choix d’être hétéro, homo ou lesbienne, sans que personne n’y trouve à redire, sans avoir de comptes à rendre à personne. Blog en grève? Non, mais tu rigoles, waaayli (même si je sais sciemment que tu ne rigoles pas). Y'a pas que ton blog qui soit en grève, chère waaayli. Notre espoir de démocratie et de développement est en grève illimitée car, nous le savons bien, l’un ne va pas sans l’autre. Mais où va-t-on, quand la simple expression d'une opinion devient un délit, que dis-je, un crime, puni de prison ? Oui, je sais, une petite semaine, cela passe très vite et dès dimanche, à mon retour, rebonjour la galère et la déprime générale. Mais c'est mon destin, comme celui de 30 millions de mes compatriotes, dont l'écrasante majorité n'ont même pas l'opportunité d'émerger un petit instant de temps à autre à l'humain paradis étranger pour happer un petit peu de cet air de libre-pensée, pour soulager un peu leur apnée, leur asphyxie permanente, dans leur enfer quotidien.:-( Mais waaayli, ce qui me console, ce qui me garde en vie, (quoique sous perfusion), c’est que de purs diamants comme toi existent et continuent, malgré tout à exprimer leur joie …et leur mal de vivre:-))
Parait-il que tu t’es faite tous les infirmiers de l hôpital, et aussi les gardiens des voitures devant l’hopital. N essayez pas de dire le contraire car c de source très officielle
connes sont tes 3 conardes de femelles. Et toi ? T juste un impuissant et inopérant, va te faire branler en fantasmant ça pourrait t aider a ne pas sombrer dans une petite dépression majeure, soignable vraisemblablement
@ma très chère waaayli En plus d'être une réincarnation d'Erato (pour la poésie lyrique), tu es sans conteste un clône d'Athéna (pour la sagesse et la stratégie guerrière) et il y a du Méthis (pour la ruse et l'intelligence)en toi. Après avoir en toute générosité ouvert la porte des wc de ton blog afin de permettre à cette pauvre malade de déverser sa paranoïa diarrhéique,tu as tiré la chasse et fait disparaître le post et ses coms fétides, pestilentiels. Et te voilà de retour à une question d'intérêt autrement plus vital, la liberté d'expression, la liberté tout court. Je te propose, n'en déplaise à 7didane, qui m'accuse de chercher prétexte à diffuser mon oeuvre en tout lieu et par tous les moyens,un vieux texte, peut-être un peu ringard, mais qui, à mon humble avis, garde, hélas, toujours toute son actualité:
"Pour moi même et par intérim, Voilà que ma muse n’exprime, Qu’octosyllabes monorimes, Pour signifier notre déprime.
N’y gagnant pas la moindre prime, Le ferait-elle pour la frime ? Est-ce pour ça qu’elle s’escrime, A rimer d’une seule rime ?
Gonflant nos cœurs qui se compriment, Déclarant que la vie nous brime, Qu’on nous muselle , qu’on nous opprime, Que pour des mots on nous réprime ?
La Vérité qu’on nous supprime, La vraie, non pas celle qu’on grime, La proclamer n’est pas un crime, Telle quelle, il faut qu’on l’imprime".
Ok, Erraji est libre, mais il n'est pas pour autant tiré d'affaire. Nous devons rester vigilants, pour défendre, bec et ongles, notre espace de liberté. L'establishment politique n'a peur que d'une chose, la "chouha" médiatique, à l'échelle internationale, qui dévoile, qui dénonce son côté répressif et ridicule. Et l'Internet est notre puissant allié.:-))
espérons qu'on se sentira plus en sécurité à l'avenir.. je ne suis pas du tout portée sur la politique mais j'espère pouvoir évoluer dans un milieu sain sans avoir à me retourner à chaque mot proféré dans l'inconcience :)
11 commentaires:
ceci est un non commentaire
kb...solidaire
awwah
Toujours en grève
toi pas vouloir bosser
le mythe
maagaz
ça râle pas mal dans le post précédent si tu savais :))
waaayli mout l3guez!
@]waaayli
Grosse bise de Paname, où je me suis réfugié une petite semaine, pour fuir...l'étouffement, l'irascibilité ambiante, l'incompréhension, l'étroitesse d'esprit, les dogmes abscons croulant sous des siècles de bêtise crasse, les traditions surannées, pour respirer un peu d'air de liberté. Liberté de pensée, sans lignes rouges ni sacrées à ne jamais dépasser, liberté de conscience, liberté de culte, liberté d'expression, liberté d'être ce qu'on a envie d’être, y compris le libre choix d’être hétéro, homo ou lesbienne, sans que personne n’y trouve à redire, sans avoir de comptes à rendre à personne.
Blog en grève? Non, mais tu rigoles, waaayli (même si je sais sciemment que tu ne rigoles pas). Y'a pas que ton blog qui soit en grève, chère waaayli. Notre espoir de démocratie et de développement est en grève illimitée car, nous le savons bien, l’un ne va pas sans l’autre. Mais où va-t-on, quand la simple expression d'une opinion devient un délit, que dis-je, un crime, puni de prison ?
Oui, je sais, une petite semaine, cela passe très vite et dès dimanche, à mon retour, rebonjour la galère et la déprime générale. Mais c'est mon destin, comme celui de 30 millions de mes compatriotes, dont l'écrasante majorité n'ont même pas l'opportunité d'émerger un petit instant de temps à autre à l'humain paradis étranger pour happer un petit peu de cet air de libre-pensée, pour soulager un peu leur apnée, leur asphyxie permanente, dans leur enfer quotidien.:-(
Mais waaayli, ce qui me console, ce qui me garde en vie, (quoique sous perfusion), c’est que de purs diamants comme toi existent et continuent, malgré tout à exprimer leur joie …et leur mal de vivre:-))
mohamed erraji is free
cooooooooooooooooooll
Parait-il que tu t’es faite tous les infirmiers de l hôpital, et aussi les gardiens des voitures devant l’hopital. N essayez pas de dire le contraire car c de source très officielle
yeah tout le monde.. sauf toi abcde sans grand chose dans la capote.. t'i con va.
connes sont tes 3 conardes de femelles. Et toi ? T juste un impuissant et inopérant, va te faire branler en fantasmant ça pourrait t aider a ne pas sombrer dans une petite dépression majeure, soignable vraisemblablement
contente pour Erraji et pour ce pas tant espéré vers un Maroc meilleur!
hamil: ykhalik lili! merci de tant de gentillesse :))
@ma très chère waaayli
En plus d'être une réincarnation d'Erato (pour la poésie lyrique), tu es sans conteste un clône d'Athéna (pour la sagesse et la stratégie guerrière) et il y a du Méthis (pour la ruse et l'intelligence)en toi. Après avoir en toute générosité ouvert la porte des wc de ton blog afin de permettre à cette pauvre malade de déverser sa paranoïa diarrhéique,tu as tiré la chasse et fait disparaître le post et ses coms fétides, pestilentiels. Et te voilà de retour à une question d'intérêt autrement plus vital, la liberté d'expression, la liberté tout court.
Je te propose, n'en déplaise à 7didane, qui m'accuse de chercher prétexte à diffuser mon oeuvre en tout lieu et par tous les moyens,un vieux texte, peut-être un peu ringard, mais qui, à mon humble avis, garde, hélas, toujours toute son actualité:
"Pour moi même et par intérim,
Voilà que ma muse n’exprime,
Qu’octosyllabes monorimes,
Pour signifier notre déprime.
N’y gagnant pas la moindre prime,
Le ferait-elle pour la frime ?
Est-ce pour ça qu’elle s’escrime,
A rimer d’une seule rime ?
Gonflant nos cœurs qui se compriment,
Déclarant que la vie nous brime,
Qu’on nous muselle , qu’on nous opprime,
Que pour des mots on nous réprime ?
La Vérité qu’on nous supprime,
La vraie, non pas celle qu’on grime,
La proclamer n’est pas un crime,
Telle quelle, il faut qu’on l’imprime".
Ok, Erraji est libre, mais il n'est pas pour autant tiré d'affaire. Nous devons rester vigilants, pour défendre, bec et ongles, notre espace de liberté.
L'establishment politique n'a peur que d'une chose, la "chouha" médiatique, à l'échelle internationale, qui dévoile, qui dénonce son côté répressif et ridicule. Et l'Internet est notre puissant allié.:-))
espérons qu'on se sentira plus en sécurité à l'avenir.. je ne suis pas du tout portée sur la politique mais j'espère pouvoir évoluer dans un milieu sain sans avoir à me retourner à chaque mot proféré dans l'inconcience :)
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