Surfaces illuminées de faces lumineuses
De doux rais d’âme que le verre renvoie
Rictus figés vestiges d’une vie heureuse
Ou de douleurs voilées de rires narquois
L’instant se fait prendre en otage volontaire
Il rit, indulgent, du triomphe du photographe
Que lui importe la prison temporaire
Si, lui même a déjà écrit son épitaphe
Des photos qui racontent mon histoire de vie
Toutes pareilles, témoins de moments quelconques
Et bien que les photos ne me donnent plus envie
Celle de toi et de moi dans tes bras… manque
vendredi 18 juillet 2008
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8 commentaires:
Je te conseille les films indiens. Sont beaucoup moins prise de tête que ces salopries qui t'inspirent :p
je ne m'inspire pas de saloperies 7didane :)
Si si !
Tu t'inspires de Word synonymes :p
Fais un test. Relis chaque vers 5 fois tout doucement avant de passer au suivant ... tu auras un autre regard sur le texte.
7didane ... ti 9eleb 3liha ... chkoun 3liha ?
Si j'ai bien compris waaayli, comme aurait dit Lamartine:
"Si La Photo manque, l'album est dépeuplé".
Vachement court, ce com. Je suis fier de moi. Chic, j'apprends à blogger.
hehehe Habib suis fière de toi aussi!
et bien vu! l'album est dépeuplé!
tu as trouvé!
Dis-moi waaayli, du coup, il n'y a pas que ton album, c'est ton blog aussi qui est tout dépeuplé. Pour quelle mystérieuse raison? Dis-moi tout. Trop de boulot, un méchant coup de soleil sur la plage, une croisière dans les mers du sud, un chagrin d'amour, peut-être?
une douceur presque dolente se dégage de ce poème et du précédent..
on en aime la légerté du mot et la profondeur du sens,
et puis on aime vos yeux..
Sylvain
sylvain: heureuse de te voir sur mon espace :)
finalement les choses tristounettes ne te rebutent pas tant que ça :p
et cesse de me draguer ouvertement, tu sais que l'autre ne va pas apprécier :))
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